… pour mieux recommencer.
Imprimer, c’est bien. Mais pourquoi imprimons-nous, exactement ?
La question peut sembler étrange, voire provocante. Pourtant, elle mérite d’être posée.
Dans un monde où tout va vite, où les publications s’enchaînent parfois par habitude ou par obligation, il peut être sain et même stratégique de faire une pause.
Pas forcément pour arrêter d’imprimer, mais pour réfléchir. Clarifier. Donner du sens à ce qu’on imprime.
Et peut-être, repartir plus fort.
Quand imprimer devient un réflexe
L’habitude, le calendrier… et le risque de perdre de vue l’essentiel
Il y a des supports qu’on imprime parce que… c’est comme ça.
Le catalogue annuel. Le numéro de rentrée. Le journal interne de l’entreprise.
Ils font partie du “calendrier”, de l’habitude, parfois même de la politique interne.
Et sans qu’on s’en rende compte, l’impression devient un réflexe plus qu’un vrai choix stratégique.
Mais une question simple peut tout changer :
“Ce que je m’apprête à imprimer, sert-il encore son objectif ?”
Si la réponse est “oui, mais…”, alors il y a peut-être matière à revoir les choses pas à tout arrêter, mais à mieux ajuster.
Faire une pause n’est pas reculer
C’est parfois la meilleure manière de reprendre les rênes
Arrêter un moment, ce n’est pas abandonner.
C’est se donner le droit de questionner ce qu’on fait. De prendre du recul.
Dans certains cas, mettre un support en pause permet de repartir sur de meilleures bases, avec une direction plus claire, un contenu plus pertinent ou un format mieux adapté à sa cible.
Ce temps de recul peut révéler des évidences qu’on ne voyait plus :
un rythme trop dense, un message qui s’essouffle, un canal devenu secondaire…
Et parfois, c’est en imprimant moins qu’on imprime mieux.
Se poser les bonnes questions, avant d’appuyer sur “Imprimer”
Et si cette pause était l’occasion de revoir vos fondamentaux ?
Avant de relancer une impression “comme d’habitude”, certaines questions méritent d’être posées :
À qui est vraiment destiné ce support ?
Est-ce qu’il atteint encore sa cible ?
Le message est-il clair, utile, engageant ?
Le format est-il toujours adapté à l’usage réel ?
Et surtout : est-ce que je pourrais faire autrement pour un meilleur résultat ?
Ce questionnement n’est pas une perte de temps.
C’est un investissement stratégique, qui permet souvent de réajuster, d’alléger, ou au contraire d’enrichir un support existant.
Recommencer, mais avec intention
Parce que bien imprimer, c’est d’abord bien réfléchir
Faire une pause permet parfois de mieux repartir.
Après cette réflexion, Il ne s’agit pas de tout supprimer.
Mais de se poser les bonnes questions :
Pourquoi ce support ? Pour qui ? Est-ce encore le bon format ?
Peut-être que le moment est venu d’arrêter d’imprimer ce qui ne sert plus à rien, pour mieux concentrer ses efforts là où ça compte.
Imprimer un support, ce n’est pas cocher une case. C’est transmettre un message, porter une identité, créer un lien physique dans un monde saturé de contenus numériques.
Quand l’intention est là, chaque support imprimé retrouve sa valeur.
Et c’est là que l’impression redevient un choix fort pas une routine.
Alors oui, arrêter d’imprimer peut sembler paradoxal venant d’un imprimeur.
Parfois, pour mieux imprimer, il faut aussi accepter d’imprimer moins.
Le site GreenIT.fr a d’ailleurs publié 9 conseils concrets pour réduire l’impact environnemental de vos impressions.
Une lecture utile pour celles et ceux qui veulent allier communication imprimée et démarche responsable, sans tomber dans les compromis techniques.
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Format, papier, finition, on vous aide à faire les bons choix pour que vos supports aient l’impact qu’ils méritent.
